Faire des pas dans sa vieS‘écouter et dialoguer avec les différentes parties de soiEnguerrand de CHRISTEN
Mon cheminement intérieur, après avoir testé de multiples façons de penser (des plus violentes et dualistes, aux plus pacifistes et non-dualistes), m'amène aujourd'hui à vivre plus de douceur et de détente intérieures, grâce à ces nouvelles perceptions du monde. Entre autres, la Communication NonViolente me fait prendre conscience, de façon très concrète, que rien n'est bien ou mal. Elle me montre que la culpabilité n'a aucun sens. En me connectant à mes besoins et à ceux des autres, en apprenant à exprimer les ressentis et besoins de chacun pour les mettre au service d'une aspiration commune, j'apprends que la vie peut être plus douce, plus vivante, plus libre.
 
Si je peux contribuer à vous transmettre cette expérience de la non-culpabilité et de la bienveillance, grâce à ces mots, aux conférences que j'anime, aux vidéos que je propose, aux formations, aux rencontres ou aux consultations individuelles... alors cela participera à ma plus grande joie d'être parmi vous ! <3
Au lieu de juger vos actions elles-mêmes, connectez-vous à vos souhaits et  aspirations profonds et à vos besoins. Ce sont eux qui sont les moteurs de vos actions. En faisant cela, la culpabilité et le jugement que vous portez sur vos actes peuvent s'atténuer. Vous gagnez en clarté et en indulgence, et pouvez ainsi faire un pas vers vous-même avec plus de facilité.
 
Apprendre et grandir demande de la douceur. Comme disait Han Suyin, "Il n'y a rien de plus puissant au monde que la douceur."
 
Une responsabilité consciente et bienveillante permet de regarder ce qui est, avec douceur, pour mieux changer sa façon d'être et d'agir. Là où la culpabilité met un cran d'arrêt à toute tentative d'évolution et de changement.
> UNE PARTIE DE VOUS, qui l'a fait de façon inconsciente, car elle ne savait faire que de cette façon ?
 
Si vous aviez pu faire différemment, qu'auriez-vous fait ? En étiez-vous capable à l'instant t ?
 
Ma réalité d'aujourd'hui est que nous sommes tous innocents. Plus exactement, nous sommes des innocents plus ou moins inconscients. Nous sommes responsables de ce que nous faisons, certes, puisque c'est bien notre être qui a fait quelque chose. Il nous appartient de faire le point sur nos comportements et sur les émotions qui nous poussent à agir. Nous avons à faire un pas pour trouver des solutions, afin d'éviter que nos actions contre-productives se reproduisent machinalement. Nous avons à prendre conscience et grandir en conscience. Nous avons à passer de "innocents inconscients" à "innocents conscients".
 
Pour autant, nous ne sommes jamais coupables, ni à blâmer. Nous sommes tous en chemin vers nous-même.
 
Quoique nous fassions, nous agissons toujours pour nourrir des besoins intérieurs. Ces besoins sont communs à notre espèce : besoin de nourriture, de confort, de lien à l'autre, de sexualité, de célébration, de reconnaissance, etc. Ce qui diverge, c'est la façon dont nous allons nourrir ces besoins.
 
Ce qui ne crée pas de joie, ce n'est pas le fait de nourrir un besoin. Ce qui crée de la tension, c'est comment nous nourrissons nos besoins.
 
En retrouvant la situation de tout à l'heure, si vous vous placez dans la sphère de vos besoins intérieurs : quel besoin avez-vous cherché à nourrir, en agissant de cette façon à cet instant ?
Lorsque vous avez agi, d'une façon qui ne vous convient pas avec le recul, demandez-vous qui a agi :
 
> VOUS, en pleine conscience, maître de vos émotions et des conséquences que cela allait avoir ? aviez-vous vraiment la possibilité de faire autrement ? cet autre choix possible, qui s'avère meilleur selon vous avec le recul, était-il accessible facilement et naturellement sur le coup ?
Ma quatrième invitation :
"branchez-vous" sur vos besoins sous-jacents à vos actions
Je vous propose un petit exercice pour "incarner" davantage ce que je viens de vous proposer. Fermez les yeux, et dîtes vous dans votre tête (ou à voix haute) :
"il faut que je sois plus doux avec moi"
 
Observez, écoutez et ressentez comment votre corps réagit.
 
Maintenant, fermez les yeux à nouveau et dîtes-vous :
 
"il m'est bon d'être plus doux avec moi"
 
A nouveau, observez, écoutez et ressentez comment votre corps réagit.
 
La différence peut être légère et subtile. Dans la seconde phrase, vous allez certainement sentir quelque chose de plus doux et fluide à l'intérieur de vous.
 
Si ce n'est pas le cas, ce peut être que vous avez vécu des choses difficiles sur un plan émotionnel, de façon répétée, ou un choc émotionnel important, qui vous a coupé de votre ressenti. Votre inconscient vous a protégé : il vous a poussé à vous couper de votre corps, pour ne plus sentir la douleur inconfortable ou dangereuse du passé. Dans ce cas, un travail d'accompagnement, avec patience et douceur, peut vous amener à recréer un lien avec votre corps.
Se sentir comme un poisson dans l‘eau
Comment installer ce nouveau langage ?
 
A chaque fois que vous dîtes ou pensez ces mots culpabilisants, reformulez votre phrase avec la formulation bienveillante. Cela, sans pression inutile, mais avec douceur envers vous-même. Vous mettrez du temps pour en faire un automatisme. Votre cerveau a besoin de s'adapter, de s'habituer, à ce nouveau langage !
 
Rappelez-vous que Rome ne s'est pas faite en un jour...
Joie de vivre
De mon expérience, j'ai remarqué que j'étais beaucoup moins traversé par la culpabilité en les remplaçant par :
 
j'aurais pu
je peux
il m'est bon de
responsable
c'est de mon/son fait
qui crée/ne crée pas de joie et de détente
souvent/parfois
 
Aujourd'hui, je ne dis plus et ne crois plus en ces mots culpabilisants. Quand il m'arrive parfois de les prononcer ou de les entendre, mon ressenti corporel me permet de les identifier instantanément. Une tension se manifeste, qui me permet de corriger mon langage.
 
Pour vous partager mon expérience d'apprentissage, aucun livre ne m'a appris cela. La vie a été ma meilleure enseignante. J'en suis arrivé à cette observation en écoutant les autres parler et en m'écoutant parler, tout simplement.
Dialogue intérieur violent
Ma première invitation :
nettoyer le terrain !
 
Dans la plupart des cas, la culpabilité trouve son empreinte très tôt dans la vie. Des parents qui n'ont pas suffisamment donné de la valeur à l'enfant que nous étions, voire des parents qui nous ont dévalorisé. Parfois, elle vient d'un mal-être familial (violence physique ou verbale, état dépressif chez les parents, etc.), dont l'enfant s'est senti responsable. L'enfant se sent toujours responsable de ce qui se passe dans son cocon familial, car il ne se distingue pas de son environnement proche.
 
Des chocs de vie répétés finissent le travail de sabotage de la confiance et de l'estime de soi : échecs professionnels, amoureux, familiaux, etc. La culpabilité se renforce et devient un réel problème. Elle s'installe insidieusement dans des pensées quotidiennes :
 
"je ne vaux rien"
"je ne sers à rien"
"je n'ai pas ma place"
"je fais toujours mal les choses"
 
Pour autant, même sur des schémas de culpabilité bien installés, il y a des solutions.
Je vous invite à quelque chose de beaucoup plus simple, indépendamment des modes et des codes : revenir à ce qui passe en vous. Cela implique de s'appuyer sur des critères de joie et de détente, qui sont des éléments universels. La question devient alors :
 
"Est-ce que ce que je dis, fais ou pense, crée de la joie et de la détente, en moi et en l'autre ?"
 
C'est le seul repère que vous pouvez avoir. Libéré des contraintes d'être récompensé quand vous faîtes le "bien" et d'être puni quand vous faîtes le "mal", la notion de culpabilité disparaît.
 
Reste la notion, légère et libre, d'aspirer à vivre et à partager de la joie et de la fluidité. Il n'y a plus rien à empêcher, plus rien à fuir. Dans cette nouvelle perception de la vie, cette joie ne connaît pas de contraire.
 

Ma troisième invitation :
transformez votre langage
 
Pour rester concret, il est important de vous rendre compte que la culpabilité est entretenue par quelque chose de très palpable et commun à tout le monde : le langage.
 
Voilà les principaux mots qui nourrissent la culpabilité, que j'ai repérés dans notre communication :
 
j'aurais du
je dois
il faut que
coupable
c'est de ma/sa faute
bien/mal
toujours/jamais
Changer son regard sur les choses
Ma deuxième invitation :
changez votre façon de percevoir les choses
 
Pour qu'il y ait culpabilité, il faudrait qu'il y ait des choses à vous reprocher. Il faudrait qu'il y ait eu un choix, conscient et délibéré, d'avoir agi d'une façon qui n'accorde pas de joie ou de liberté dans votre vie ou dans celle d'un proche.
 
Je dis bien "qui n'apporte pas de joie ou de liberté", je ne dis pas "d'avoir mal agi". Car la culpabilité commence par la perception que l'on a de la situation. Mon invitation est de vous aider à quitter la dualité du bien et du mal. Ce concept se base sur des références externes apprises, qui dépendent des pays, des codes sociaux, de l'époque, etc. Par exemple, le fait de tuer des personnes sera  considéré comme "bien" en tant de guerre. La même chose sera considérée comme "mal" en temps de paix. Parfois, il y a de quoi perdre la raison à donner du crédit à ces repères extérieurs ! Or, la culpabilité est quelque chose d'appris, pas d'inné. On se sent coupable parce qu'on ne répond pas à des repères dualistes extérieurs, auxquels on s'est identifié.
 
Ce à quoi je vous invite ici est de changer votre façon de voir les choses, de percevoir, de comprendre, d'appréhender le monde. Comme une amie me le dit souvent, "tout est question de regard".
Les Fleurs de Bach sont souvent conseillées sous forme de mélanges de plusieurs Fleurs.  La difficulté est que, en lisant les états émotionnels correspondants aux 38 Fleurs de Bach, vous vous retrouverez dans la plupart d'entre eux... Pour trouver le mélange de Fleurs qui pourrait vous aider, un regard extérieur est indispensable.
 
En tant que professionnel des Fleurs de Bach et formateur en Fleurs de Bach, je peux vous aider à cibler, ensemble, le mélange de Fleurs qui vous aidera le mieux à vous rendre plus libre.
Quelle en est la posologie ?
 
Pour aider un état de crise lié à de la culpabilité : versez 3 gouttes de la fiole de "Pine", achetée en magasin bio ou en pharmacie, dans une bouteille d'eau. Buvez cette bouteille tout au long de la journée, par gorgées. Renouvelez l'opération durant le temps de la crise.
 
Pour un traitement plus long : achetez-vous une flacon-pipette de 30 millilitres, teinté anti-UV. Placez-y 3 gouttes de la fiole de "Pine". Complétez les 30 mL à l'aide d'eau. Prenez ce mélange, à raison de 3 gouttes sous la langue, régulièrement dans la journée (4 fois ou plus), à jeun. Idéalement : au réveil, avant le repas de midi, avant le goûter (ou en rentrant du travail), au coucher et à chaque fois qu'une émotion liée à la culpabilité vous submerge.
Fleur de Bach - Pine - Pin sylvestre
Les Fleurs de Bach peuvent aussi aider au niveau émotionnel. C'est un précieux outil laissé par un médecin anglais passionné par l'humain. La Fleur de Bach qui travaille spécifiquement sur la culpabilité est "Pine", le pin sylvestre.
 
En la prenant régulièrement, elle aide à transformer une culpabilité malveillante en une responsabilité bienveillante. De mon expérience, elle ne remplace pas un travail en profondeur, effectué avec un professionnel. Elle le complète. Parfois, elle permet de déblayer le terrain, pour préparer la piste d'un accompagnement avec un professionnel.
 
Pour en savoir plus, j'ai beaucoup de plaisir à animer des formations d'initiation aux Fleurs de Bach, sur deux journées. Par le jeu, le rire et les mises en situation, vous apprenez les 38 Fleurs de Bach et leur utilisation.

Une méthode en autonomie : les Fleurs de Bach

Peu à peu, la culpabilité et le sentiment d'abandon/de rejet/d'injustice laisse place à une nouvelle identité, plus libre. Complétée par des prises de conscience, des actes symboliques et une observation de tous les jours, vous reprenez peu à peu le chemin vers vous-même.
 
Vous souhaitez savoir si cette méthode vous convient ? Vous pouvez en savoir plus en regardant la vidéo où je parle de thérapie émotionnelle. Ou me contacter pour discuter ensemble de votre situation spécifique.
Pour accompagner ce type de difficultés, j'utilise souvent la méthode DECEMO.
 
Elle permet, par des mouvements oculaires, de reprogrammer le cerveau sur un plan neurologique au niveau des chocs émotionnels vécus, afin de gagner en indépendance et en distance par rapport à ceux-ci.
Personne qui se sent coupable
Voilà une grande question ! C'est une question que nous nous posons tous.
 
La culpabilité, le fait de s'en vouloir, crée en nous de nombreuses tensions. Or, on ne peut pas être heureux quand on vit de la tension. Le bonheur, c'est de vivre la fluidité.
 
La culpabilité est partout. Elle s'immisce dans notre quotidien
 
"j'aurais du partir plus tôt et prévoir ce trafic routier"
 
ou poursuit notre passé
"j'aurais du faire plus d'efforts quand nous étions ensemble"
 
Avec douceur, je vous propose ici plusieurs clés qui peuvent vous aider, à chaque instant, à vous sentir moins coupable... c'est à dire plus libre, plus bienveillant, plus responsable.

Novembre 2015 : La culpabilité, comment s'en libérer ?

"Vous ne pouvez rien enseigner à un homme.
Vous ne pouvez que l'aider à le découvrir en lui-même"
Galilée
Intégrer les blocages émotionnels par les mouvements oculaires
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